Roy, parle de lui 
" .... Je suis né le 5 octobre, 1965, 
dans la ville de Québec. Mon nom complet est Patrick Jacques Roy et je suis le fils de Michel Roy et Barbara Miller. Quand ma mère étais plus jeune, elle était une nageuse synchronisée qui fesait des compétitions provincial et nationnal. J'ai un frère Stéphane(30) et une soeur Alexandra (23). "

".... J'étais un enfant actif qui aimait jouer. À l'école, mes matières favorites étais les mathématiques et l'éducation physique. J'étudiais pour devenir notaire ou avocat."

".... Je vie avec ma femme Michelle Piuze. Nous nous sommes rencontrés à une partie de softball il y a maintenant 12 ans. Nous avons deux fils, Jonathan (8) et Frederik (6), et une fille, Jana qui a 4 ans. Nous avons aussi un golden retriever. "

".... Ma meilleur qualitée: Je suis honnête. Mon pire défaut : Je suis paresseux."

".... J'aime jouer au golf."

".... J'écris le nom de mes 3 enfant sur mon bâton avant chaque partie ..."

".... Je crois que c'est important de faire ce qu'on aime. La vie est trop courte pour ce limiter."

".... Je suis très superstitieux.  Je m'habille toujours de la même manière. La journée d'une partie, je mange toujours la même chose ... Il y a une tonne de petite chose comme ça que je fait toujours et que je ne rêve jamais de changer."

".... Quand je me suis joind aux CH, ils m'ont donnés le numéro 32, mais je ne l'aimais pas, j'ai alors à Eddy Palchak si je pouvais avoir le 33. En premier je voulais le 30, mais il était déja à Chris Nilan. J'ai donc décidé d'y aller avec le 33."

".... Mon meilleur adversaire? Il y a beaucoup d'excellent joueurs dans la LNH et je ne sousestime aucun d'eux. Cam Neely m'a donné beaucoup de trouble dans le passé."

"...Sur la route...j'aime jouer à Boston et Vancouver; ce sont tous les deux de très belle villes."

".... J'ai été à ma première partie de la LNH au Forum(Montréal) pour voie les Canadiens contre les Kings de L.A. Mon père savait que Rogatien Vachon étais mon joueur préféré et nous avions fait le voyage de la ville de Québec juste pour le voir. Je jouais pee-wee à ce moment.

".... Mon moment le plus mémorable : Définitivement la troisième partie dans les demi-finales de 1986 contre les Rangers de New York. Nous avions gagné 4-3 en prolongation. La tention étais incroyable et les fans criait "Roouu-ah, Roouu-ah." Sa ma mener dans un bon début dans la LNH."

".... Après 60 minutes de jeu...  Ces toujours flatteur d'être nommé première étoile de la partie. C'est un signe de reconnaisance, Une indication que j'ai bien fait. Mais je l'apprécie seulement si je gagne. Si on joue et que on gagne, les honneurs individuelles viennent naturellement. Une première étoile est un prix de grand prestige. Tout les joueurs sont content de l'avoir, je ne suis pas une exception. Je sais que les reportaires on un travail à faire, donc j'essai de faire de mon mieux pour que leur travail soit plus facile. Je crois que tout les journalistes connaisent les limites d'un joueur. Ils savent que vous ne voulez pas leur parlez après une défaite. On essai de coopérer pour qu'ils ne nous poussent pas à bout. Pendant la saison régulière, je suis très accesible. Je leur donne le temps qu'ils ont besoin. Mais durant les séries, Je préfère rester concentré sur ma partie. Et ils respectent cela."

".... après le hockey? C'est dur à dire, parce que je ne sais pas comment fort je vais m'ennuyer du hockey. La chose la plus importante cera de ne pas être dans le hockey pour au moins un ans pour être loing de la partie et voir comment je m'en ennuie."

La mère de Patrick parle de son fils
"Patrick a tellement d'énergie que desfois il me rapelle Dnis la petite peste. Il n'étais pas capable d'arrêter. À l'âge de huit ans, pour Noel, il a demandé des jambières de gardien et les a eux. Il aimait bien l'école ou il était brigadier, et avait du bon temps. Jeune, Patrick étais aussi un excellent nageur."